Machiavel : Le Prince, Chapitre 17 – Explication de texte
Dans le chapitre 17 de son ouvrage Le Prince, Machiavel s’intéresse à la question de la cruauté et de la clémence. Il soutient que le prince doit être prêt à utiliser la cruauté si nécessaire, mais qu’il doit également savoir faire preuve de clémence lorsqu’il le faut. Selon Machiavel, le prince doit être comme un lion et un renard : fort et courageux comme le lion, mais rusé et intelligent comme le renard.
La cruauté
Machiavel estime que la cruauté peut être nécessaire pour maintenir l’ordre et la discipline. Il donne l’exemple de César Borgia, qui a été un prince cruel, mais qui a réussi à unifier l’Italie et à rétablir l’ordre. Machiavel soutient que la cruauté est préférable à la faiblesse, car elle permet au prince de se faire respecter et de faire appliquer sa volonté.
La clémence
Cependant, Machiavel ne préconise pas la cruauté pour autant. Il estime que le prince doit également savoir faire preuve de clémence lorsqu’il le faut. Il donne l’exemple de Scipion l’Africain, qui a été un prince clément, mais qui a réussi à vaincre Hannibal et à conquérir l’Afrique. Machiavel soutient que la clémence est préférable à la cruauté, car elle permet au prince de gagner l’affection de ses sujets et de les rendre plus fidèles.
L’équilibre entre la cruauté et la clémence
Selon Machiavel, le prince doit trouver le juste équilibre entre la cruauté et la clémence. Il doit être prêt à utiliser la cruauté si nécessaire, mais il doit également savoir faire preuve de clémence lorsqu’il le faut. Le prince doit être comme un lion et un renard : fort et courageux comme le lion, mais rusé et intelligent comme le renard.
Les problèmes liés à la cruauté et à la clémence
L’utilisation de la cruauté et de la clémence pose un certain nombre de problèmes. D’une part, la cruauté peut entraîner la révolte des sujets. D’autre part, la clémence peut entraîner le mépris de l’autorité. Le prince doit donc être très prudent lorsqu’il utilise la cruauté ou la clémence.
Conclusion
En conclusion, Machiavel estime que le prince doit être prêt à utiliser la cruauté si nécessaire, mais qu’il doit également savoir faire preuve de clémence lorsqu’il le faut. Le prince doit trouver le juste équilibre entre la cruauté et la clémence afin de maintenir l’ordre et la discipline, et de gagner l’affection de ses sujets. Le Prince de Machiavel reste une œuvre controversée, mais elle a eu une influence considérable sur la pensée politique occidentale.
Machiavel Le Prince Chapitre 17 Explication De Texte
Dans ce chapitre, Machiavel discute de l’utilisation de la cruauté et de la clémence par le prince.
- Cruauté nécessaire
- Clémence préférable
Machiavel soutient que le prince doit être prêt à utiliser la cruauté si nécessaire, mais qu’il doit également savoir faire preuve de clémence lorsqu’il le faut. Le prince doit trouver le juste équilibre entre les deux afin de maintenir l’ordre et la discipline, et de gagner l’affection de ses sujets.
Cruauté nécessaire
Selon Machiavel, la cruauté peut être nécessaire dans certaines situations. Par exemple, si le prince est confronté à une révolte ou à une conspiration, il peut être nécessaire d’utiliser la cruauté pour rétablir l’ordre et punir les coupables. De même, si le prince est confronté à une menace extérieure, il peut être nécessaire d’utiliser la cruauté pour défendre son territoire et ses sujets.
Cependant, Machiavel ne préconise pas la cruauté pour autant. Il estime que le prince ne doit utiliser la cruauté qu’en dernier recours, lorsqu’il n’y a pas d’autre moyen de maintenir l’ordre ou de protéger l’État. Machiavel soutient que la cruauté est préférable à la faiblesse, car elle permet au prince de se faire respecter et de faire appliquer sa volonté.
Machiavel donne l’exemple de César Borgia, qui a été un prince cruel, mais qui a réussi à unifier l’Italie et à rétablir l’ordre. Machiavel estime que la cruauté de César Borgia était nécessaire dans les circonstances de l’époque, car elle a permis de mettre fin au chaos et à la violence qui régnaient en Italie.
Clé`} preferable
Machiavel soutien que la clé`} est préférable `a la cru`aute car elle permet au prince de convaincre plus facilment ses sujet `a se conformer `a ses volontes et `a se tenir sage. Le prince qui sait etre clement gagne l’affection et la fidelite de ses sujet, et il peut donc gouverner plus facilement et plus efficacement.
Machiavel donne l’exemple de Scipion l’Africain, qui a ete un prince clement, mais qui a reussi `a vaincre Hannibal et `a s’emparer de l’Afrique. Machiavel estime que la cmence de Scipion l’Africain a ete `efficace car elle a permis de ralliuer le soutien de ses alljes et de demoraliser ses adversaires.
Selon Machiavel, le prince doit savoir faire preueve de cmence et de generosite` envers ses sujet, mais aussi envers ses adversaires. Le prince qui sait etre clement est plus susceptible de trouver des allies et de conclure des paix honorables. Il est aussi plus susceptible de voir sa domination perdurer.
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