Le texte “Contre la peine de mort” de Victor Hugo est un discours puissant contre la peine capitale, prononcé à l’Assemblée constituante le 15 septembre 1848.
1. La peine de mort est un châtiment cruel et inhumain
Pour Hugo, la peine de mort est une violation du droit à la vie, un droit fondamental et inaliénable de l’homme.
“La peine de mort est un crime. C’est un attentat à la vie humaine, le plus grand de tous les crimes.”
Hugo souligne également l’aspect cruel et inhumain de la peine de mort, qui consiste à tuer un être humain de manière délibérée et préméditée.
“La peine de mort est hideuse. C’est un spectacle horrible, qui révolte la nature et qui fait rougir l’humanité.”
2. La peine de mort n’est pas dissuasive
Hugo réfute l’argument selon lequel la peine de mort aurait un effet dissuasif sur la criminalité.
“La peine de mort n’a jamais empêché personne de commettre un crime.”
Il souligne que les pays qui ont aboli la peine de mort n’ont pas connu une augmentation des taux de criminalité.
3. La peine de mort est irréversible
Hugo insiste sur le fait que la peine de mort est irréversible et qu’il est impossible de revenir en arrière si l’on découvre que l’accusé était innocent.
“La peine de mort est une erreur irréparable. Un innocent condamné à mort est un meurtre.”
Il rappelle également que de nombreuses personnes innocentes ont été exécutées dans le passé.
4. La peine de mort est inutile
Hugo considère que la peine de mort est inutile car elle ne permet pas de réparer le crime commis.
“La peine de mort ne répare rien. Elle ne rend pas la vie à la victime. Elle ne console pas la famille de la victime. Elle ne fait que tuer un homme.”
Il estime que la peine de mort n’a aucun sens et qu’elle est une forme de vengeance barbare.
En conclusion, Victor Hugo condamne la peine de mort comme un châtiment cruel, inhumain, inutile et irréversible. Il appelle à son abolition immédiate.
Texte Contre La Peine De Mort Victor Hugo
Discours puissant contre la peine capitale.
- Peine de mort : châtiment cruel, inhumain.
- Peine de mort : erreur irréparable.
Hugo appelle à son abolition immédiate.
Peine de mort
Pour Victor Hugo, la peine de mort est un châtiment cruel et inhumain car elle consiste à tuer un être humain de manière délibérée et préméditée. Il souligne que la peine de mort est une violation du droit à la vie, un droit fondamental et inaliénable de l’homme.
Hugo rappelle également que la peine de mort est un spectacle horrible, qui révolte la nature et qui fait rougir l’humanité. Il décrit la guillotine comme un “instrument de mort” qui “coupe la tête d’un homme comme on coupe la tête d’un poulet”.
Hugo s’insurge également contre les conditions de détention des condamnés à mort, qu’il juge indignes d’êtres humains. Il dénonce l’isolement total, le manque de lumière et d’air frais, et la nourriture infecte que l’on donne aux condamnés.
Pour Hugo, la peine de mort est une pratique barbare et moyenâgeuse qui n’a pas sa place dans une société civilisée. Il appelle à son abolition immédiate.
La peine de mort est également cruelle et inhumaine car elle touche de manière disproportionnée les personnes pauvres et issues des minorités. En effet, ces personnes sont plus susceptibles d’être condamnées à mort, même pour des crimes moins graves.
Enfin, la peine de mort est cruelle et inhumaine car elle ne permet pas de réparer le crime commis. Elle ne rend pas la vie à la victime et ne console pas sa famille. Elle ne fait que tuer un homme.
Peine de mort
Victor Hugo insiste sur le fait que la peine de mort est une erreur irréparable. En effet, si l’on découvre que l’accusé était innocent après son exécution, il est impossible de revenir en arrière. Hugo rappelle que de nombreuses personnes innocentes ont été exécutées dans le passé, et que ce risque existe toujours aujourd’hui.
Hugo souligne également que la peine de mort est souvent appliquée de manière arbitraire et discriminatoire. Les personnes pauvres et issues des minorités sont plus susceptibles d’être condamnées à mort, même pour des crimes moins graves. Cela est dû au fait que ces personnes ont moins accès à une représentation juridique de qualité.
Pour Hugo, la peine de mort est une erreur irréparable qui ne peut être justifiée. Il appelle à son abolition immédiate afin d’éviter de nouvelles tragédies.
L’erreur judiciaire est toujours possible, même dans les systèmes judiciaires les plus avancés. En France, par exemple, plusieurs personnes condamnées à mort ont été innocentées après leur exécution. Parmi les cas les plus célèbres, on peut citer celui d’Alfred Dreyfus, qui a été condamné à la déportation à vie pour trahison en 1894, mais qui a été innocenté en 1906.
Le risque d’erreur judiciaire est particulièrement élevé dans les affaires où les preuves sont circonstancielles ou lorsque l’accusé est issu d’une minorité ou d’un milieu défavorisé. Dans ces cas, les jurés peuvent être plus susceptibles de se laisser influencer par leurs préjugés ou par l’émotion.
La peine de mort est une erreur irréparable qui ne peut être justifiée. Même si l’accusé est coupable, il ne mérite pas d’être tué. La peine de mort est une forme de vengeance barbare qui n’a pas sa place dans une société civilisée.
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