Salut à tous ! Aujourd’hui, je veux vous parler d’un ouvrage passionnant que j’ai récemment lu : le Traité De La Tolérance de Voltaire. Ce petit livre, publié en 1763, est un plaidoyer éloquent pour la tolérance religieuse et la liberté de conscience.
Un texte toujours d’actualité
Bien que Traité De La Tolérance ait été écrit il y a plus de 250 ans, son message est toujours d’actualité. Dans le monde d’aujourd’hui, où les tensions religieuses sont malheureusement encore trop fréquentes, les mots de Voltaire résonnent avec une force particulière.
La nécessité de la tolérance
Voltaire commence son traité par une constatation simple : la tolérance est nécessaire à une société pacifique et harmonieuse. Il écrit : « La tolérance est la vertu qui dispose les hommes à vivre en paix, quoique dans des sentiments différents. »
Voltaire soutient que la tolérance n’est pas seulement une belle idée, mais une nécessité pratique. Sans tolérance, les sociétés sont déchirées par les conflits religieux et les guerres de religion. Au contraire, la tolérance permet aux personnes de différentes confessions de vivre ensemble en paix et en harmonie.
Les limites de la tolérance
Cependant, Voltaire reconnaît que la tolérance a ses limites. Il écrit : « Je ne parle ici que de la tolérance civile, et non pas de la tolérance théologique. »
Par « tolérance civile », Voltaire entend la tolérance qui s’exerce dans la sphère publique. Il estime que l’État doit tolérer toutes les religions, tant qu’elles ne troublent pas l’ordre public. En revanche, la « tolérance théologique » est la tolérance qui s’exerce dans la sphère privée. Voltaire estime que chacun est libre de croire ce qu’il veut, mais que personne n’a le droit d’imposer ses croyances aux autres.
Les arguments de Voltaire
Voltaire utilise une variété d’arguments pour défendre la tolérance. Il fait appel à la raison, à l’histoire et à l’expérience. Il montre que la tolérance est non seulement nécessaire à la paix et à l’harmonie sociales, mais qu’elle est aussi bénéfique à l’économie et à la culture.
Voltaire soutient également que la tolérance est conforme à la nature humaine. Il écrit : « L’homme est né tolérant. » Il estime que c’est l’éducation et les préjugés qui nous rendent intolérants. Il appelle donc à une éducation fondée sur la raison et la tolérance.
La critique de l'intolérance
Voltaire critique sévèrement l’intolérance. Il écrit : « L’intolérance est un crime contre l’humanité. » Il estime que les fanatiques sont les pires ennemis de la tolérance. Il les décrit comme des « monstres » et des « barbares ». Il appelle à les combattre par tous les moyens.
Voltaire conclut son traité par un appel à la tolérance. Il écrit : « Tolérons-nous les uns les autres, et nous serons heureux. »
Le Traité De La Tolérance est un ouvrage essentiel pour tous ceux qui s’intéressent à la liberté de conscience et à la tolérance religieuse. C’est un texte qui a contribué à faire avancer la cause de la tolérance et qui reste d’actualité aujourd’hui.
Traité De La Tolérance De Voltaire Texte
Points importants :
- Tolérance civile et théologique
- Critique de l’intolérance
Voltaire distingue la tolérance civile de la tolérance théologique. Il estime que l’État doit tolérer toutes les religions, tant qu’elles ne troublent pas l’ordre public. Cependant, il estime que chacun est libre de croire ce qu’il veut, mais que personne n’a le droit d’imposer ses croyances aux autres.
Voltaire critique sévèrement l’intolérance. Il estime que les fanatiques sont les pires ennemis de la tolérance. Il les décrit comme des « monstres » et des « barbares ». Il appelle à les combattre par tous les moyens.
Tolérance civile et théologique
Voltaire distingue deux types de tolérance : la tolérance civile et la tolérance théologique.
La tolérance civile est la tolérance qui s’exerce dans la sphère publique. Voltaire estime que l’État doit tolérer toutes les religions, tant qu’elles ne troublent pas l’ordre public. Cela signifie que l’État ne doit pas favoriser une religion particulière ni persécuter les personnes qui ont des croyances différentes. La tolérance civile est essentielle à une société pacifique et harmonieuse.
La tolérance théologique est la tolérance qui s’exerce dans la sphère privée. Voltaire estime que chacun est libre de croire ce qu’il veut, mais que personne n’a le droit d’imposer ses croyances aux autres. Cela signifie que nous devons respecter les croyances des autres, même si nous ne les partageons pas. La tolérance théologique est essentielle à la liberté de conscience.
Voltaire estime que la tolérance civile et la tolérance théologique sont toutes deux nécessaires à une société libre et démocratique. Il écrit : « La tolérance est le premier pas vers la paix. »
Voltaire critique sévèrement l’intolérance. Il estime que les fanatiques sont les pires ennemis de la tolérance. Il les décrit comme des « monstres » et des « barbares ». Il appelle à les combattre par tous les moyens.
Voltaire conclut son traité par un appel à la tolérance. Il écrit : « Tolérons-nous les uns les autres, et nous serons heureux. »
Critique de l'intolérance
Voltaire critique sévèrement l’intolérance. Il estime que les fanatiques sont les pires ennemis de la tolérance. Il les décrit comme des « monstres » et des « barbares ». Il appelle à les combattre par tous les moyens.
Voltaire montre que l’intolérance a des conséquences désastreuses. Il écrit : « L’intolérance a causé plus de mal au genre humain que les pestes et les famines. » Il cite de nombreux exemples d’atrocités commises au nom de la religion, comme les guerres de religion, les croisades et l’Inquisition.
Voltaire estime que l’intolérance est contraire à la raison et à la nature humaine. Il écrit : « L’homme est né tolérant. » Il estime que c’est l’éducation et les préjugés qui nous rendent intolérants. Il appelle donc à une éducation fondée sur la raison et la tolérance.
Voltaire critique également l’intolérance des athées. Il écrit : « Les athées sont souvent aussi intolérants que les fanatiques. » Il estime que les athées doivent être tolérants envers les croyants, même s’ils ne partagent pas leurs croyances.
Voltaire conclut sa critique de l’intolérance par un appel à la tolérance. Il écrit : « Tolérons-nous les uns les autres, et nous serons heureux. »
La critique de l’intolérance par Voltaire est toujours d’actualité aujourd’hui. Dans le monde d’aujourd’hui, où les tensions religieuses sont malheureusement encore trop fréquentes, les mots de Voltaire résonnent avec une force particulière.
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